Les engagements RSE

Le timbre NFT, en phase avec les engagements sociaux et environnementaux du Groupe La Poste

L’engagement en faveur d’un numérique éthique et frugal est aujourd’hui inscrit dans les statuts du Groupe La Poste, tout comme l’engagement de réduire de façon systémique les émissions de gaz à effet de serre. Logiquement, Philaposte a donc mis en œuvre des actions concrètes pour que le projet de timbres NFT soit en cohérence avec les engagements sociétaux et environnementaux du Groupe La Poste :

Action 1 : une impression du timbre physique sur le site de Boulazac (Dordogne )

Certifié ISO14001 depuis 2007, l’imprimerie de Boulazac est équipée de 2000 panneaux photovoltaïques permettant de couvrir une partie des besoins en énergie, avec une production de 1 million de kWh / an. L’usine est labellisée FSC® et PEFCTM depuis 2012. L’imprimerie met en œuvre des process permettant de réduire les déchets de cartons et papier (diminution de la gâche papier) et de les recycler.

• 2000 panneaux solaires
• 97% de papiers issus de forêts gérées durablement
• 88,94% des déchets valorisés

Action 2 : une livraison responsable avec Colissimo

Les timbres physiques sont livrés via Colissimo, pionnier de la livraison bas carbone en France.

• 90% des livraisons nationales optimisées grâce au rangement
• 70 000 tonnes de CO2 évitées d’ici 2025, avec la généralisation du mode « vrac rangé » les camions

Action 3 : un achat inclusif, sans cryptomonnaie

Les timbres NFT sont vendus en euros, contrairement à de nombreuses œuvres d’art NFT, vendus en crypto-monnaies. L’objectif : un achat inclusif et ouvert à tous, même à ceux qui ne sont pas l’aise avec la technologie. Le but est aussi de sécuriser l’achat, en évitant les fluctuations constatées sur le marché des crypto-monnaies.

Action 4 : le choix d’une blockchain sobre sur le plan énergétique

Philaposte a choisi de travailler avec Tezos, l’un des pionniers de la blockchain en France. Tezos utilise la technique POS (Proof of Stake) pour valider les transactions dans la blockchain. Cette technique est très sobre sur le plan énergétique : l’empreinte carbone totale sur l’année est évaluée par PwC à celle de 17 citoyens du monde. Toujours selon la même source, la consommation énergétique annuelle de Tezos est équivalente à 0,001 TWh (par rapport à 26 TWh pour la technique POW (« Proof of Work », technique utilisée par la blockchain Ethereum jusqu’en 2022).

90 à 99% moins énergivore

Explication :

Rappelons que la blockchain est d’abord un réseau d’ordinateurs reliés entre eux. Tous ensemble, ces ordinateurs ont pour mission d’inscrire (« miner » dans le jargon) les NFT dans la chaîne, ainsi que toutes les transactions associées (achat, vente). Les possesseurs des ordinateurs (les « mineurs ») sont récompensés financièrement en fonction du nombre de transactions inscrites. Il existe plusieurs systèmes permettant de déterminer les « mineurs » récompensés :

• Le système POW (Proof of Work) récompense le « mineur » le plus rapide. Concrètement, tous les ordinateurs font les calculs. Ce système nécessite une puissance de calcul phénoménale. Très énergivore, il est souvent pointé du doigt par les opposants à la blockchain.

• Le système POS (Proof of Stake) est basé sur la confiance. L’heureux « mineur » rémunéré est d’abord tiré au sort. Puis, il effectue les calculs permettant l’inscription dans la blockchain. Logiquement, ce système est beaucoup moins énergivore.

Action 5 : une plateforme éco-conçue et inclusive

Le site nftimbre.com est éco-conçu, en vue de limiter son impact carbone. Il obtient un score global de C sur EcoIndex. Bien sûr, nous travaillons en continu pour améliorer sa performance. Le site est également conçu pour qu’il soit accessible à tous, facilement utilisables pour tous les publics, incluant les personnes en situation de handicap.

Action 6 : un outil pour calculer l’empreinte carbone de vos timbres NFT

Après le premier achat de timbre NFT, une application permet de suivre en temps réel l’impact carbone de vos timbres NFT via l'outils Carbonz

Livraison, impression, inscription dans la blockchain… l’empreinte carbone est mesurée à chaque étape